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Par Le Jeune Extrême le vendredi 19 février 2010, 14:44 - Génération Extrême
Des news depuis un an. Ayant arrêté mon zine, je me remets doucement à Génération Extrême. Donc j'ai commencé la rédaction de la suite qui n'en sera pas une puisqu'elle sera consacrée à la période 1988-1994 : noise, grunge, shoegaze, etc.
Et pour le livre déjà sorti, j'ai commencé à faire une chaîne sur YouTube avec des vidéos pour chaque chapitre. C'est ça qui est chiant avec un livre, il n'y a pas de son, donc avec des vidéos c'est encore mieux, il y a des images qui bougent et du son.
Par Le Jeune Extrême le mercredi 28 janvier 2009, 12:19 - Humeurs (bonnes)
Difficile de mener de front un fanzine (dont l'avenir s'avère aujourd'hui, deux ans après son premier numéro, incertain, étant donné la masse de travail que cela représente), un blog qui nécessite pas mal de manips pour publier des morceaux de mp3 (les choisir, les encoder au bon format, les déposer sur le site, mettre le code qui va bien avec), et tout le reste (vie de famille incluse).
2009 sera peut-être l'année où je vais continuer la rédaction de Génération Extrême avec une période qui me tient à cœur, les années 91-94, époque du grunge, de la noise américaine, de la noisy-pop anglaise, de la naissance du métal industriel, bref du renouveau de l'esprit punk.
Si ce tome 2 voit le jour, ce blog sera probablement réactivé.
Et en marge de cela, peut-être serais-je ailleurs sur un autre blog, quelque part, sans mon étiquette d'auteur de Génération Extrême mais comme fan de zik, tout court (il suffit peut-être de me demander où, hey ?).
Et voilà les vacances sont finies, adieu plages rafraichissantes, femmes ensablées et bières chaudes. Reprenons nos bonnes habitudes et parlons musique pour évacuer cette vacuité vaguement vexante.
Donc.
Quiconque s'est intéressé un minimum au mouvement punk et se sera, conséquemment, procuré l'une des multiples compilations qui fleurissent dans les bacs depuis plus de deux décennies (Dieu que je m'exprime bien moi et jamais un remerciement rien), connaît les Adicts et leur tube "Viva la Revolution".
Petit tour une fois de plus dans la première moitié des années 90, pardon à tous les lecteurs de Génération Extrême qui penseraient que je suis resté scotché sur le post-punk et la cold-wave des années 80, je déments formellement. J'avais 25 ans en 1991, et ça compte ces choses-là, on évolue encore à cet âge-là (maintenant je n'évolue plus, je reste dans le rock indépendant, jamais je ne me mettrai au jazz-rock c'est bien compris ?)
Donc. Propos du jour, Sebadoh. Transfuge de Dinosaur Jr (voir billet ici), Lou Barlow, le bassiste, était parti fonder Sebadoh.
Je m'en souviens très bien : en 1992, on recevait au sein de Prémonition, cet illustre fanzine qui me permettait d'écrire des tas de trucs sur des tas de groupes, un disque bizarre. La pochette représentait une photo de fête foraine en flou artistique, grisâtre, et le nom du groupe sonnait curieusement. Ça faisait un peu amateur, comme une démo gravée sur CD, ça faisait aussi penser aux disques cold-wave du début des années 80.
J'avais pris ce disque par curiosité (ouais on recevait des tas de disques gratos, à l'époque on ne pouvait pas aller se servir sur Internet alors il fallait se démerder autrement, alors quoi de mieux que de se faire embaucher dans un fanzine avec pignon sur rue ?), et je l'ai mis dans le lecteur CD en pensant à autre chose.
On dit souvent que les Electric Eels (de Cleveland, USA) étaient un groupe de glam-rock, mais c'est vraiment n'importe quoi. Ces mecs-là étaient des punks complètement destroy, d'ailleurs dans toute leur "carrière" entre 1972 et 1975, ils n'ont fait que 5 ou 6 concerts, concerts qui finissaient en baston générale, les plus violents des participants étant les membres du groupe eux-même.
Comme Van Gogh ils n'ont jamais rien vendu de leur vivant (ni sorti d'ailleurs) et c'est des lustres plus tard, dans les 90's, qu'on a pu entendre leur musique, de la noise chaotique et bruitiste avant l'heure, de la no-wave, du punk, on peut appeler ça comme on veut puisque ça s'adapte à toutes les catégories. Des générations d'amoureux du bordel et du bruit ont été influencés par eux (à commencer probablement par Sonic Youth), et plus encore que les Stooges, ils font partie de ces groupes méconnus d'avant le punk qui sont réellement incontournables.
Par Le Jeune Extrême le mardi 08 juillet 2008, 18:52 - Audio-Video
Petit cadeau pour tous les flemmards qui 1/ ne sont pas au courant et 2/ n'ont pas envie d'écouter l'intégralité de l'émission et 3/ sont trop neuneus pour savoir comment faire, voici, dûment redécoupé en morceaux, le set de Charles De Goal du 27 juin, en direct sur Aligre FM, dans l'émission Coma Electrique. Téléchargez-le ici, mais auparavant, écoutez ce splendide inédit qui arrache sa mère top de la mort du ciel, "Extinction" :
Digital Dance est né sur les cendres des premiers groupes punks belges. S'ils jouèrent à l'époque en première partie de Magazine ou (oui !!!) de Joy Division, il leur fallut attendre 30 pour figurer au catalogue de LTM Recordings, qui est le dernier pourvoyeur actuel des groupes Factory, et qui a réédité et compilé leurs singles et démos. Leur style ? Appelons-cela du cold-funk, quelque chose qui se situe entre A Certain Ratio, ESG, Au Pairs, Josef K, c'est-à-dire du funk glacial et pas fun pour deux sous.
Amis lecteurs, je vois poindre sur vos visages hargneux un étonnement teinté d'incompréhension : "[ Psychedelic Furs ] Iron Maiden, phénomène de société", mais qu'est-ce qu'il raconte ce Jeune Extrême, dans le titre de sa note, il a bu ou quoi ? Serait-il sous l'emprise de drogues illicites, aurait-il décidé de se faire passer pour un vrai jeune afin de se moquer de notre curiosité légitime de lecteurs incultes ?
A cela je répondrai tout net :
Sur les chaines musicales fournies avec le satellite et le cable, il n'y a pas que des grosses daubes, et parfois on se surprend à découvrir des perles comme l'album de Santogold, et ça juste grâce à un clip qui vous a scotché par terre 27 fois par minute pendant 12 heures.
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